L’eau qui abreuve, l’eau qui ruisselle sur la peau, l’eau qui éclabousse, l’eau qui nettoie, l’eau qui chante, l’eau qui berce, l’eau qui jaillit. Et l’eau qui, parfois, de plus en plus, vient à manquer.
Une chanteuse et un percussionniste sénégalais remontent le cours de l’eau, dévoilent ses sonorités et jouent avec leurs voix et leur corps, rebondissent depuis la goutte jusqu’à l’averse, depuis le clapotis jusqu’à la cascade. Depuis l’intime moment du coucher du petit quand s’éclairent les lumières de la ville.
Et, petit à petit, au son du handpan, se construit un petit monde enchanté, fait de fontaines, de bassines, de robinets et de verseurs. Un univers lumineux qui rappelle la douce sensation des premiers bains, l’heure du coucher, la fin des moments joués.
Une parenthèse chantée qui dit aussi la préciosité de cet élément qui se renouvelle depuis la nuit des temps.
Un spectacle du Théâtre de la Guimbarde
En coproduction avec le projet européen Mapping ; A map on the aesthetics of performing arts for early years
Avec le soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles et de Pierre de Lune, Centre scénique jeune public de Bruxelles
Création : Montagne Magique – novembre 2023
Équipe de création
Mise en scène
Gaëtane Reginster
Scénographie
Laurence Jeanne Grosfils
Interprétation
Agsila Breuil Joob et Honoré Kouadio
Costumes
Elyse Galiano
Création lumière
Vincent Stevens
Inspiration du projet et diffusion au Sénégal
Patricia Gomis
Accompagnement artistique
Daniela Ginevro