L’eau qui abreuve, l’eau qui ruisselle sur la peau, l’eau qui éclabousse, l’eau qui nettoie, l’eau qui chante, l’eau qui berce, l’eau qui jaillit. Et l’eau qui, parfois, de plus en plus, vient à manquer.
Une chanteuse et un percussionniste sénégalais remontent le cours de l’eau, dévoilent ses sonorités et jouent avec leurs voix et leurs corps, depuis la goutte jusqu’à l’averse, depuis le clapotis jusqu’à la cascade. Petit à petit, au son du handpan, se construit un petit monde enchanté, fait de fontaines, de bassines, de robinets et de verseurs. Un univers lumineux qui reflète la douce sensation des premiers bains et devient le miroir d’intimes émotions.
Une parenthèse chantée qui révèle aussi la préciosité de l’eau, ses résonances, ses transparences.
Le spectacle a reçu le prix de la Ministre de la Culture, Bénédicte Linard, à la Vitrine Chanson et Musique jeune public en octobre 2023.
Une production du Théâtre de la Guimbarde
En coproduction avec le projet européen Mapping ; A map on the aesthetics of performing arts for early years
En collaboration avec BAAT (Bureau Africain des Arts et Techniques), Yénne, Sénégal
Avec le soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles et de Pierre de Lune, Centre scénique jeune public de Bruxelles
Équipe de création
Mise en scène
Gaëtane Reginster
Accompagnement artistique
Daniela Ginevro et Camille Sansterre
Composition et interprétation
Agsila Breuil Joob et Honoré Kouadio
Scénographie
Laurence Jeanne Grosfils
Costumes
Brigitte Castin
Création lumière
Vincent Stevens
Chants préexistants
Perrine Fifadji et Guy Béart
Inspiration du projet et diffusion au Sénégal
Mamby Mawine
Clin d’oeil dramaturgique
Sybille Cornet
Photographies
Olivier Calicis
Remerciements
Hervé Breuil